Auteur : Stephen R.Lawhead
Publié en français par : Editions Livre de Poche, 2007, 573 pages
Cycle de Pendragon volume 2.
Résumé : «Le monde a-t-il jamais connu semblable époque ?
Jamais ! Et c’est ce qui en fait la gloire et la terreur. Si les hommes savaient ce qui les guette, jusqu’au plus humble d’entre eux… ils défailleraient, ils se couvriraient la tête et mordraient leur manteau pour s’empêcher de crier. C’est leur bénédiction et leur malédiction de ne pas savoir. Mais moi je sais. J’ai toujours su…
Voici l’histoire de Merlin l’Immortel, roi, guerrier, druide, barde et prophète… dont la vie se confond avec l’histoire de l’Ile des Forts. Voici le récit de son enlèvement par le Petit Peuple des Collines, de ses longues années de solitude dans la forêt et de ses combats contre les barbares sanguinaires dont les invasions vont précipiter la chute de l’Empire romain d’Occident. Voici la vie de Merlin telle que nul autre que lui ne pouvait la raconter.
Evaluation : Après un Taliesin très prenant et mettant en place un cadre très riche je m’attendais à une montée en puissance pour Merlin. Si l’histoire est riche et le monde médiéval anglo-saxon décrit de manière précise, je suis resté un peu sur ma fin côté Fantasy. A part quelques moment de transes ou des moments où le temps semble comme se ralentir et donc où Merlin devient très vivace dans le combat, je trouve qu’on est plus dans un roman médiéval que dans de la fantasy. Taliesin avec ses « pouvoir » de barde, qui enchante le monde par ses chants, et Charis qui danse avec les taureaux, j’ai trouvé Merlin un peu fade, pas très enchanteur.
Deux éléments intéressants sont
– le niveau de recherche de Lawhead, au niveau des personnages, légendes, … et tous les personnages présents dans sa saga, semblent exister quelque part dans une légende celtique ;
– la description dont la foi en Jésu (sic) s’implante lentement en Angleterre, depuis Taliesin et cette ébauche de chapelle où il est confronté pour la première fois à la foi chrétienne, jusqu’à la construction d’une grande Eglise à Londinium à la fin de Merlin, avec l’opposition de certains druides, le passage progressif des autres de croyances païennes vers la foi en la « Grande Lumière ».
Je vais faire un crochet par le cycle « Le chant d’Albion » de Lawhead, avant de revenir au cycle de Pendragon.
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